isabelleboistard
Barcelone et la fin du longue attente
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| La cuisine |
Et bien voilà, visite de mon nouvel appart le 4 novembre pour remise des clés! Pouf, j'y croyais presque plus depuis que l'immeuble avait monté ses murs, son toit et ne montrait plus ses mutations intérieures. Mais tout de même, tout de même...
et pour le fun, azulejos et vue du port de Barcelone. Avec arc en ciel, s'il vous plait.
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Désert
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Arracher l'écharde plantée entre les deux épaules, vienne la lumière.
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La mosquée de Cordoue
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L'enigme de la Mosquée est celle du vide transmué en une impérieuse présence, celui de la singularité absolue et de la répétition inflexible. Le regard y perçoit une illumination sereine qui, après une heure passée à déambuler au long des travées de colonnes et d'arcs, se contamine d'une puissante sensation de vertige et alors, on se souvient du labyrinthe des nombres, des jeux de sauts et de marelle de son enfance et aussi, soudain, de cette sépulture chinoise où l'on a trouvé les six milles statues d'une armée de pierre, qui paraissent exactament semblables mais dont aucun des visages ne se répète: les nervures en apparence semblables des feuilles d'un arbre ne se répètent pas non plus, ni les dessins des cristaux de glace et chaque colonne de la mosquée est aussi semblable à toutes les autres et aussi distincte de chacune d'elles que les visages uniques d'une foule.
Antonio Munoz Molina - Cordoue des Omeyyades
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Escapade à Milan
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Quelques heures à Milan pour parler de la crise économique... Un taxi de l'aéroport de Malpensa jusqu'au centre ville.
Façades géantes, rues luisantes de lumières ocres. Le King Hotel.
Buenasera, dit le portier
Mots étrangers pourtant si proches. Au réveil, le lit rouge,
les murs dorés
Et le café très fort.
Un chateau aux pierres rouges
entre les cyprès
Silhouettes de promeneurs
Un ticket bleu clair
Retour en train vers Malpensa
Le soleil rouge derriere les arbres
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Parce que j'aurais aimé pouvoir inviter Denis dans ma maison...
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En souvenir de Denis Nautre, mon cousin, dont je vous invite à découvrir le travail (esprits "sensés" ou impressionnables s'abstenir...), pour son combat et ses découvertes infinies. www.denisnautre.com
J'ai comme le sentiment que lorsque le créateur a conçu le monde et les hommes il n'avait pas d'yeux pour voir le résultat...
Ce qui me rassure quand je perds la raison c'est de constater que je l'avais avant sans m'en rendre compte...
Le puissant désir de se jeter par la fenêtre était refréné, non pas tant par la raison que par le fait qu'il habitait au rez-de-chaussée ...
Les mots sont ce qu'il nous reste quand le silence apparaît comme insupportable... Je pense que si nous nous entendions nous n'aurions jamais besoin de parler...
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